« Je suis acheteuse pour la SNCB, j’achète le matériel nécessaire au bon fonctionnement des trains. »

Aline, Operational buyer à la SNCB

« Je travaille à la SNCB depuis août 2019. Après mon Master en gestion d’entreprise, je suis partie sur un coup de tête sur l’île de la Réunion. Là-bas, j’ai travaillé dans une pâtisserie chocolaterie. J’y faisais de l’achat de machines mais aussi de matières premières comme les fèves de cacao. De retour en Belgique, j’ai géré ma propre entreprise pendant trois ans. Donc, mine de rien, il y a toujours eu de l’achat dans mes précédentes fonctions. 

À la base, je n’avais pas postulé pour la SNCB. C’est en fait un cabinet de recrutement qui m’a contactée et m’a annoncé qu’ils avaient une opportunité pour moi. La SNCB est une société gigantesque qui permet d’évoluer vers d’autres fonctions. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai postulé. »

« Le contact avec les fournisseurs, je trouve ça sympa. »

« Je suis acheteuse pour la SNCB, j’achète le matériel nécessaire au bon fonctionnement des trains. Cela peut être des produits très diversifiés : un câble de frein ou de l’huile pour moteur par exemple. Notre rôle est de gérer les demandes qui proviennent des différents ateliers. On prend la demande en charge, on recueille les offres des différents fournisseurs, on les compare, on négocie quand c’est possible et ensuite, on passe la commande. En fait, on entre en jeu à l’arrivée de la demande et jusqu’au passage de la commande effective.

Je trouve le contact avec les ateliers, donc nos clients internes, vraiment très intéressant. Ils savent ce qu’ils veulent mais parfois, il faut un peu les guider. Est-ce que ces besoins sont vraiment utiles ou pas ? Je trouve aussi les contacts avec les fournisseurs très intéressants. Au fur et à mesure que l’on travaille avec eux, on crée des liens. C’est aussi ce qui permet de pouvoir mieux négocier par après. »

« Un chef encourageant, c’est important ! »

« Au début, quand j’ai commencé, ma fonction était très répétitive. Je faisais vraiment de l’achat pur et donc, toute la journée, j’envoyais des demandes de prix aux fournisseurs et je passais mes commandes. Mais j’ai la chance d’avoir un chef qui est très à l’écoute de mes besoins. Aujourd’hui, mon rôle a un petit peu évolué déjà, ce qui est très sympa. Dans notre service, il y a trois équipes, chacune en charge de produits spécifiques. Et pour l’instant, je fais un peu le lien entre ces équipes. Je m’assure notamment que les commandes soient envoyées à temps et que les rappels soient faits. Mon rôle est de plus en plus transversal. Et puis là, je suis sur un nouveau petit projet. Parfois, les ateliers veulent juste avoir un prix pour savoir s’il est plus intéressant de réparer une pièce ou s’il est préférable d’en commander une nouvelle. Et pour ça, on est en train de mettre en place un nouveau système et c’est moi qui m’en occupe. Cela m’apporte de la diversité dans mon travail. »

« Franchement, je me sens bien à la SNCB. »

« La SNCB est une société au sein de laquelle j’ai été très bien accueillie. Je trouve aussi qu’il y a des possibilités de formations vraiment sympas. J’ai par exemple pu en suivre une sur les marchés publics. On est une société de droit public donc on est confronté aux règles relatives aux marchés publics. Les horaires aussi sont très confortables. J’aime bien commencer tôt le matin et finir tôt le soir aussi. Il m’arrive, lorsque je suis en télétravail, de parfois faire du sport le midi. Franchement, je me sens bien à la SNCB. »

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