Alors, c’était comment le stage ? Un vis à vis avec Marie-Éline et Lynn
Marie-Éline a 22 ans et prépare son deuxième Master Ingénieur Commercial (KU Leuven). Elle vient de terminer son stage au service Procurement de la SNCB et se montre très enthousiaste.
«En fait, je ne retire que du positif de mon stage. Pour moi, il s’agissait surtout d’apprendre plein de choses et d’avoir un aperçu de la vie professionnelle. J’aurais préféré venir au bureau tous les jours, mais ce n’était malheureusement pas possible. Par chance, Lynn a compensé le manque de contacts sociaux par des pausescafé virtuelles. J’ai beaucoup d’admiration pour Lynn. C’est une excellente manager, qui a le souci de tous les membres de son équipe. Il est réjouissant de voir que les femmes, à la SNCB, ne se heurtent pas à un plafond de verre. On m’a offert de nombreuses opportunités au cours de mon stage. J’ai appris à connaître les programmes, j’ai suivi des cours, j’ai travaillé sur des projets étroitement liés à mes études... J’ai même pu organiser le team building. Ils m’ont invitée à les accompagner, mais malheureusement je n’étais pas disponible. »
Lynn a débuté sa carrière à la SNCB en 2008 en tant que consultante SAP. Aujourd’hui, devenue Procurement Excellence Manager, elle est très satisfaite de la réussite du stage de Marie-Éline.
«C’était la toute première fois que notre équipe accueillait une stagiaire. J’étais vraiment favorable à cette idée, même si j’avais un peu peur au début. Je ne savais pas si nous allions être capables d’apprendre suffisamment de choses à Marie-Éline. Son stage s’est déroulé pendant la période estivale, en l’absence de nombreux collègues. Malgré cela, tout s’est très bien passé. Elle a toujours réagi avec beaucoup de dynamisme, et elle nous a vraiment aidés. Pour moi, le regard neuf de Marie-Éline s’est révélé particulièrement enrichissant. Certains points sensibles lui ont immédiatement sauté aux yeux. Son parfait bilinguisme était bien sûr aussi un atout dans une entreprise comme la nôtre. Son stage s’est parfois avéré être un défi car nous télétravaillons souvent. Heureusement, on se voyait régulièrement lors de réunions via Teams et lors de nos pauses-café virtuelles. Ces conversations nous ont donné l’occasion de parler aussi de choses qui ne sont pas liées au travail. »
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